• Adresse : 17 rue Victor Hugo 97110 POINTE A PITRE, France

  • Nombre d’habitants : 1 500 hab
  • Année d'engagement du projet : 2014
  • Année d'achèvement du projet : 2024

  • 7 ha

  • 500 000 €

Ce projet a remporté le Prix du Public – Quartier des Green Solutions Awards France 2022-2023.

PLI BEL LARI, une expérience de RELOOKING urbain

L’association Atelier ODYSSEE développe, depuis mars 2014, le projet « PLI BEL LARI» ; démarche concertée d’amélioration esthétique et sociale du quartier populaire de Vatable (Pointe à Pitre) s’appuyant sur 3 piliers :

  • L’embellissement des maisons du quartier
  • La valorisation artistique ou agricole des délaissés urbains (fresques, jardins partagés...)
  • L’animation urbaine (manifestations culturelles et festives, marchés, etc.)

Initiée par l'Atelier Odyssée, une association du quartier dédiée à l’art et à la création, en collaboration avec un collectif d’habitants, l'opération PLI BEL LARI a progressivement bénéficié de l’engagement d’autres acteurs (d’autres habitants du quartier, artistes locaux, commerçants, habitants bénévoles venus d’autres villes) animés par l’envie commune de transformer ce quartier qualifié de ''difficile'' et d’agir en vue de son développement social, économique et culturel. En neuf ans, le quartier Vatable s’est transformé : amélioration de l’image, du cadre de vie et de l'attractivité du secteur, valorisation du patrimoine guadeloupéen, réappropriation des espaces verts, développement de nouveaux commerces.   

Pli Bel Lari se veut être une expérience de développement local participatif où chacun a son rôle à jouer. Ancré dans les réalités des habitants et construit par eux-mêmes à partir d'enjeux collectifs, ce projet a été conduit à partir d’une logique endogène et ascendante. Le sens du développement n’a pas été défini « par le haut », par des programmes extérieurs, il provient fondamentalement des acteurs qui le composent et de la mise en synergie de leurs expériences, savoirs et expertises.

Ce concept tend également à inspirer d’autres territoires ainsi que d’autres quartiers et d’autres villes de la Guadeloupe font aujourd’hui appel aux acteurs de Pli Bel Lari, reconnus dans l’expertise qu’ils ont construit de manière empirique. Pli Bel Lari est aujourd’hui présenté comme ''une méthode de vie et d’entraide pour refaire vivre la cité".

Les enjeux :

  1. Rendre la transition écologique désirable afin d’y amener le plus de monde possible 
  2. Concilier citoyenneté et impact positif et durable 
  3. Déploiement à grande échelle d’une expérimentation menée à l'échelle d'un quartier 


Ce projet a pour objectif, via une démarche volontaire, responsable et engagée des citoyens d’améliorer le cadre de vie de leur quartier à travers notamment l’aménagement d’espaces végétalisés sur des zones délaissées. Cette action de végétalisation contribue à apaiser la chaleur urbaine ressentie dans les rues du quartier par les habitants et visiteurs et à impulser une dynamique sociale positive.

Ces espaces délaissés (maisons abandonnées, friches urbaines…) ont été transformés en plusieurs jardins dont un potager de 250m² dans lequel différentes variétés de cultures ont été plantées (légumes, fruits, fleurs, PPAM, cacahuètes…). L’entretien de cette parcelle est géré par les membres de l’association qui invitent les habitants du quartier à venir récolter régulièrement la production des jardins.

Dans ces jardins et espaces verts, des animations sont organisées afin de sensibiliser les habitants du quartier aux enjeux du 21e siècle (réchauffement climatique, énergie, alimentation…).

Les effets constatés de PLI BEL LARI

  • Initiation et sensibilisation des plus jeunes a l’implication citoyenne
  • Stimulation urbaine & redynamisation économique
  • Image positive & apaisement social
  • Autosuffisance alimentaire & préservation de la biodiversité
  • Solidarité & convivialité urbaine
  • Création de lieux de fraicheur
  • Transmission du savoir & lien intergénérationnel
  • Qualité environnementalle
  • Gestion autonome du cadre de vie
     


Enseignements utiles pour d’autres territoires / réplicabilité

Facteurs clés du succès / pourquoi cette action est exemplaire

Caractère innovant et spécifique du projet :

  • une initiative citoyenne accompagnée par une experte architecte-urbaniste ;
  • une forte conviction et motivation des citoyens investis dans le projet ;
  • une attention particulière a été portée à l’esthétisme du projet.

 La condition sine qua non pour qu’une telle opération connaisse le succès est que les prescripteurs soient également les bénéficiaires. Le rôle de la collectivité doit être celui du facilitateur et de l’accompagnateur.

Sylvie ADELAIDE

Points de vigilances / bonnes conditions de réussite  

  1. Financièrement, c’est une opération qui nécessite des fonds (démarrage, accompagnement…) ;
  2. Une bonne relation entre les pouvoirs publics et l’association est essentielle afin de faciliter l’avancement du projet (aménagement, entretien des voiries, espaces publics) ; c’est aussi un atout si la collectivité assure le rôle d’accompagnateur et facilitateur (gestion des blocages, embauches, chantiers sur la voie publique…) ;
  3. Cette opération nécessite de regrouper plusieurs compétences : architecturale, paysagiste, gestion, finance, urbaniste, management, organisation…
  4. Une bonne gestion des propriétaires qui mettent à disposition les sites est importante ; trop souvent méfiants, il faut les rassurer en obtenant une autorisation d’occupation temporaire (AOT) avec une clause souple de récupération du terrain. En retour, il faut garantir au propriétaire l’entretien de son bien et lui assurer qu’il n’y ait pas de squat et dégradations ; 
  5. Bien définir la gestion des lieux : personnes en charge, espace de stockage, gestion de l’eau.

C’est impossible, dit la Fierté. C’est risqué, dit l’Expérience. C’est sans issue, dit la raison. Faisons-le, murmure le Cœur.

William Arthur WARD

 

Programme

  • Espaces publics
  • Espaces verts
  • Autres

Etat d'avancement du projet

  • Operationelle

Points remarquables

  • Cadre de vie
  • Développement local
  • Biodiversité

Démarche(s)

  • Démarche Eco-Quartier

Plus d'info

 https://www.solidarum.org/vivre-ensemble/pli-bel-lari-redonner-couleurs-et-fierte-au-quartier

Crédits photo

Atelier Odyssée

Type de territoire

La ville de Pointe-à-Pitre est située dans l'île caribéenne de la Guadeloupe, une île française de la région ultrapériphérique des Caraïbes. La ville, construite sur des marécages, a gagné du terrain sur la mer. C'est une ville basse située au bord d'une mangrove.

Sa position centrale dans l'archipel et son port abrité lui ont permis de se développer et de devenir, jusqu'au début des années 1980, le principal centre économique et commercial de l'archipel de la Guadeloupe.

Contrainte dans son développement par la petite taille de son territoire (à peine 2,66 km²), Pointe-à-Pitre est la plus petite commune urbaine des régions ultrapériphériques françaises et présente la plus forte densité de population.

À Pointe-à-Pitre, et globalement en Guadeloupe, les effets du changement climatique sont déjà visibles :

  • Augmentation de l'intensité des phénomènes météorologiques violents, tels que les ouragans.
  • Augmentation des inondations majeures

Son profil très exposé aux risques naturels combiné à sa petite taille l'oblige à se reconstruire sur elle-même et à se consolider.

L'expansion naturelle de la ville s'est faite au profit des communes voisines, dans les zones urbaines en périphérie de la ville.

L'installation progressive de nouvelles polarisations urbaines, notamment dans l'agglomération centrale mais aussi à sa périphérie, a remodelé l'équilibre territorial. Elles ont notamment réorienté les flux démographiques et économiques, affectant fortement la vitalité urbaine de Pointe-à-Pitre.

Cependant, Pointe-à-Pitre reste un lieu de convergence indéniable. L'histoire de son développement en a fait une source remarquable de vitalité urbaine, dont le contenu a abondamment nourri les ressources identitaires de l'archipel guadeloupéen. La ville conserve une force centrifuge persistante.

L'intensité des flux de population vers la ville-centre de Pointe-à-Pitre est toujours vivace, alimentée par de nombreux atouts structurels et infra-structurels capables de restaurer et de consolider sa stature historique de levier stratégique des dynamiques territoriales générées dans l'archipel guadeloupéen.

Dans ce contexte, la ville de Pointe-à-Pitre se trouve dans une phase transitoire de son développement.

Cette situation nécessite un repositionnement stratégique intégré dans une cohérence territoriale qui doit être envisagée au-delà des limites communales, mais à l'échelle plus large de l'aire urbaine. Cela lui permettra de se projeter dans un avenir plus fertile en opportunités de développement avec une visibilité renouvelée et une attractivité soutenue et durable.

Zone climatique

[Af] Tropical humide. Pas de saison sèche.

Porteur de projet

    Atelier ODYSSEE

    Autre

    Association Loi 1901

Pilotage projet

    Architecte d’un urbanisme citoyen

    L’association Atelier ODYSSEE développe, depuis mars 2014, le projet « PLI BEL LARI » ; démarche concertée d’amélioration esthétique et sociale du quartier populaire de Vatable (Pointe à Pitre) s’appuyant sur 3 piliers :

    • l’embellissement des maisons du quartier
    • La valorisation artistique ou agricole des délaissés urbains (fresques, jardins partagés...)
    • L’animation urbaine (manifestations culturelles et festives, marchés etc.)
       

    L'expérience menée dans le cadre de l'opération Pli Bel Lari, offre une vision plurielle (associative, professionnelle et institutionnelle) de la réponse qu’apporte à cette thématique l’ingénierie, dite « citoyenne ».

    Opérer dans la co-fondation plus que la confrontation

    Outre le respect des gens, la présence sur site favorise grandement l’obtention d’une légitimité et permet de témoigner que l’association ne se positionne pas « contre eux », mais « à côté d’eux ». Facilitée par l’appui sur des référents locaux, cette cohabitation, pas aisée, induit des notions de domanialité flottante et de rapports de force, comparables aux codes de territorialité des groupes (exemples des gangs, des surfeurs des Salines « vs » Baigneurs de la Plage du Bourg, ou des communautés à New York cf. L.BOUVET (« Le communautarisme. Mythes et réalités ») ou O.ROY (« Ethnicité, bandes et communautarisme »).

    La nature ayant horreur du vide, l’Atelier occupe le terrain en s’inscrivant non pas dans le conflit mais dans la cohabitation de différents modes de vie, d’habiter, d’exister ayant pour intérêt commun, la vie dans ce quartier et le vivre ensemble.

    En dépit de cette bonne volonté et en corollaire à la présence sur le site, ce sont probablement les actions qui asseyent la légitimité de l’association sur les lieux. Depuis sa création, l’Atelier Odyssée a ainsi assuré :

    • La réhabilitation et l’embellissement  d’une cinquantaine de maisons,
    • La réalisation de 5 jardins urbains dont 1 jardin créole sur des parcelles abandonnées,
    • Le lancement de chantiers (rue des Arts, cabane à lecture, soutien à un supermarché alternatif...)
       

    Conclusion

    Aux côtés des habitants, la conduite de ces actions exige l’appui d’un certain nombre d’adjuvants :

    • Institutionnels, Etat, Région, Département et  Cap Excellence (subventions, participation au Conseil citoyen...)
    • Sponsors (un grand distributeur de peinture accompagne l’association quasiment depuis leurs débuts)
    • Un réseau de compétences plurielles au service de l’opération (juridiques, administratives, architecturales...)
    • Les bénévoles de provenance locale et internationale conquis par la démarche
    • Les nostalgiques pointois de l’ère bourgeoise de certains de ces quartiers
    • Une population « bobo » conquise par le charme populaire des Vatable et autre Fonds Laugier
       

    Pour autant, demeurent un certain nombre de marges de progression 

    • Optimisation de l’accompagnement financier des collectivités (volume, réactivité administrative) qui favoriserait  par l’embauche, l’avancée des chantiers voire l’ouverture de nouveaux 
    • Complémentarité entre les actions de l’association et celle de la puissance publique (de l’exercice du pouvoir de police ou d’entretien des voiries et des espaces publics)
    • Extension de cette démarche à d’autres quartiers et d’autres communes
    • Résolution des questions d’indivision qui tend à retarder ou enliser la mise en œuvre d’opérations
       

    Par sa capacité à produire des diagnostics sensibles, à gérer l’urgence et sa légitimité acquise au fil des années, l’approche Pli Bel La Ri propose une approche « citoyenne » innovante de la rénovation urbaine de Pointe à Pitre, ambitionnant de préserver voire de rétablir le lien (social) entre les habitants d’un même (micro) territoire.

    L’attrait d’un nombre croissant d’activités économiques, artisanales ou artistiques pour Vatable et l’intérêt des collectivités et acteurs publics pour cette approche laisse à penser que l’essai est, au moins partiellement, transformé.

    Mais les « trêves » (projections filmiques, Chanté Nwel, fêtes au cours desquelles certains occupants des rues se proposent même d’assurer la sécurité) illustrent mieux qu’un discours ou une convention la teneur complexe des liens entre l’association et les acteurs de l’animation informelle de lari la.

Intervenants du projet

    ADELAIDE

    Autre

    Mise au point du projet
    Pilotage - Ordonnancement - Coordination
    Planification

    atelier.odyssee97[a]gmail.com

SOLUTIONS

     

    Une méthode : composer une mosaïque avec le diagnostic sensible en motif central

    Pour l'Atelier ODYSSEE les territoires souffrent moins d’un manque d’études (études ABS, OPAH, SDDE, PLH, ANRU, données des bailleurs...), que d’une approche urbaine sociale et sociologique alliant la consultation à la considération des habitants. En effet, l’accumulation des données « figées » peut diluer l’efficience de leur application sur un terrain en perpétuelle évolution.

    S’appuyant sur l’existant, les bénévoles de l’Atelier arpentent ainsi le terrain afin de produire des états des lieux permettant l’identification d’opportunités (dents creuses, squats...) et la production de diagnostics « sensibles ».

    Les expériences de Sylvie ADELAIDE, architecte urbaniste, membre actif de Pli Bel Lari, sur la rénovation urbaine, l’ont convaincue de l’impérieuse nécessité de privilégier la préservation du lien humain et l’entretien d’un sentiment d’appartenance aux approches bureaucratiques.

    Plus que de chiffres, elle nous parle « réinstallation de l’esprit de bon voisinage », de possibilités pour les Gran Moun de surveiller les enfants comme dans les lakou d’antan chers à un J.P GIORDANI ou à un Marc JALET.

    « Raser le lien humain, c’est mettre en difficulté un système qui fait que les gens peuvent évoluer s’envisager, se projeter, se réaliser et s’accomplir ». Et comment ne pas évoquer, ici, cette femme qui lors d’une réunion publique de la rénovation urbaine demanda : « Est ce que je vais déménager près de ma voisine ? ». Un vœu qui au final, loin de se voir exaucé, connaîtra une issue funeste...

    Un credo : respecter (et associer) les gens pour qu’ils vous respectent (et vous apprécient)

    La philosophie portée par l’Atelier Odyssée revisite les approches spécifiquement hygiénistes ou sécuritaires en matière de rénovation urbaine en s’appuyant sur les préceptes suivants :

    • Négative hier, ou attractive aujourd’hui ; il convient de distinguer la perception du lieu, de sa réalité. Longtemps connue pour ses tares de site inondable et insalubre, le quartier VATABLE, par sa vie de quartier, illustre parfaitement ce point. Un postulat qui rappelle les travaux d’un Sébastian ROCHÉ sur le « sentiment d’insécurité » ou d’un Marc GUERRIEN sur les bandas de Mexico, comparables en divers points (tenues, codes, activités...) aux gangs pointois et singulièrement de la rue Vatable.
       

    L’association étant située au cœur d’une zone au sein de laquelle différents types de trafics s’opèrent (stupéfiants, prostitution...) ; il importait de nouer, à l’instar de ce qu’a essayé d’initier l’urbaniste Bruno CARRER dans le cadre du GIP de la Ville de Fort de France, un rapport différent avec l’informel. L’Atelier dialogue ainsi avec tous, de la doyenne, témoin de l’imprégnation bourgeoise de naguère, à la légende urbaine Big Jo. Un dialogue qui va jusqu’à l’adoption de codes communs, telles les limites territoriales de l’Atelier (un poteau et des graffs spécifiques), respectés par « la rue » et vice versa.

    • Participation citoyenne
    • Valorisation identité culturelle/historique

Mixité sociale

Vie de quartier et espaces de convivialité : les aménagements réalisés et plus particulièrement les opérations d’embellissement ont rendu le quartier plus attractif. Des animations, rencontres et ateliers sont organisés toutes les semaines dans ces nouveaux espaces de vie qui remettent le « vivre ensemble » au goût du jour?

Développement local

Attractivité économique du territoire : Pli bel Lari a permis de changer l’image du quartier ; dorénavant, les lieux sont devenus branchés et attirent de nombreux acteurs :

  • Artistes qui réalisent des fresques dans le cadre d’évènements (expositions, clips, shootings, reportages) ;
  • Des chercheurs & universitaires ont réalisé des interviews pour comprendre des phénomènes de société ;
  • Chaque année, plus de 1 200 touristes viennent découvrir l’initiative et échanger avec les habitants.

Biodiversité et milieux naturels

Créer un espace de fraîcheur

La création des jardins et potagers dans les zones délaissées ont permis de diminuer les surfaces bétonnées, augmenter les surfaces végétalisées et donc d’apporter davantage de fraîcheur aux habitants du quartier. Cette végétalisation joue également sur la biodiversité du quartier, depuis sa mise en place, les habitants du quartier retrouvent la faune et la flore disparues (papillons, coccinelles, abeilles…).

Une alimentation durable

Le jardin potager permet de produire une alimentation variée et locale pour les habitants du quartier. Sur une surface de 250m², on trouve aussi bien des légumes (salade, tomates, piments, cives, gombos, menthe), des fruits (pommes, cannelle, goyaves, fraises, bananes, cannes à sucre, cerises), des fleurs (fleurs ornementales, fleurs à couper), des PPAM (citronnelle, doliprane, atoumo, mille fleurs, semen)… L’entretien est géré par les membres de l’association mais les plantations et les récoltes profitent également aux habitants du quartier. En plus de sa fonction nourricière, cet espace est également un lieu de sensibilisation aux enjeux de demain (alimentation, agriculture, jardinage, gestion des déchets, santé, local, nature…).

Raisons de la candidature au(x) concours

Nous souhaitons à travers ce concours "Green Solutions Awards 2022-2023" d’une part avoir l’opportunité de contribuer à la construction d'un avenir durable , d’autre part c’est également l’occasion de mettre en avant l’expérience menée avec l’opération PLI BEL LARI ainsi que d’échanger avec d’autres experts dans le domaine de l’éco aménagement. Et enfin, participer à ce concourt nous permettra de gagner en visibilité, l’objectif étant d’inviter à réfléchir sur une autre façon d’appréhender notre cadre de vie et l'espace public.    

  • Le projet a été remarqué à travers de nombreuses distinctions et prix (concours l’Ordinaire, auditionné par l’Assemblée nationale, concours Realiz, élue association de l’année par France Antilles….)
  •  Il a également attiré l’attention de nombreux médias : télé locale, nationale, internationale, presse écrite, visites…
PDF
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Rédigé par

Sylvie Adelaide


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