La réconciliation : 100% de la façade ré-employée IN SITU pour la rénovation du centre commercial historique du groupe Auchan et son pôle loisirs
- par Narimene Fourloul
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- 2022-05-30 00:00:00
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- France
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- 1228 / FR
Renovation
- Type de bâtiment : Autre bâtiment commercial
- Année de construction : 1967
- Année de livraison : 2023
- Adresse : 343 rue de Roncq 59200 TOURCOING, France
- Zone climatique : [Cfb] Océanique hiver tempéré, été chaud, pas de saison sèche
- Surface nette : 11 707 m2
- Coût de construction ou de rénovation : 10 300 000 €
- Coût/m² : 879.82 €/m2
-
Consommation d’énergie primaire :
kWhep/m2.an
(Méthode de calcul : RT 2012 )
- 1/ Le site et son histoire // premier hypermarché Auchan à Roncq
1967 : année d’ouverture du premier hypermarché Auchan sur le site pionnier de Roncq.
190% de surface au sol consacrée exclusivement à la voiture par rapport à l’assiette de surface bâtie.
99,8% de surface construite dédiée au commerce (et plus récemment aux loisirs).
77% de sol artificialisé
2000 : rénovation lourde de 15 M€ dont les façades en bardeaux de terre cuite (sur la plus grande façade, l'équivalent de 350 ml sur 7 m de haut, soit 2450 m²)
2/ Les objectifs du maître d’ouvrage
En 2018, Immochan (puis Ceetrus puis Nhood) envisage de restructurer le site historique du premier hypermarché Auchan. Il s'agit notamment de :
- Minimiser l’impact carbone (énergie, matière, stockage, )
- minimiser la mono-fonctionnalité
- Minimiser l’impact économique
3/ Nos intentions
Au regard des objectifs du maître d’ouvrage et pour réconcilier le site avec les villes environnantes et leurs habitants, le désenclaver, le rendre "acceptable" et en faire un pôle attractif et dynamique ; Le projet est repensé sur la base d’une trame structurante visant à tisser le territoire. Elle se développe sous la forme d'une résille tridimensionnelle intérieure rythmant chaque commerce. Elle se propage à l’extérieur sous forme d’un déploiement de cubes en bois empilés signifiant les entrées et faisant aussi office de protection solaire Cela permet de s’ouvrir à la ville et d’offrir une animation sur l’extérieur créant un lien fort entre intérieur et extérieur, entre ville et centre commercial.
Pour cela, nous avons identifié les ambitions suivantes :
- Ré-employer in-situ tout ce qui est possible
- Devenir un site de destination pour plusieurs usages (logements, loisirs, santé et soins, sport, cinéma, etc.)
- Renaturer le site
- introduire de nouvelles mobilités
4/ 100% de la façade ré-employée in-situ, 100% des matériaux nécessaires conservés et les extensions à partir de matériaux bio-sourcés
La première étape consiste à restructurer le premier hypermarché Auchan et l'ancien Leroy Merlin ainsi que les intérieurs de la galerie commerciale dans le cadre d'un coût objectif très économique
Pour la galerie commerciale et l'ancien site Leroy Merlin, et pour respecter le coût d'objectif très économique.
Le parti est de :
- réemployer 100% des bardeaux de terre cuite existant sur les façades pour 100% d'énergie humaine
- sur la totalité des façades en les composant avec de nouveaux bardeaux de terre cuite de couleurs différentes afin de réaliser un dégradé mettant en valeur la dimension du bâtiment et les SAS d'entrée.
- Sur la totalité du mobilier urbain
- Conserver un maximum d'éléments existants tout en respectant les normes environnementales (RE éléments par éléments).,
- conserver l’ossature principale de tenue du faux plafond,
- conserver l’ossature de maintien des cassettes de soffites
- conserver les portes qui sont restratifiées sur place, etc.
- conserver l'intégralité de la structure bois, conçue initialement pour être la plus économique possible
- bio-sourcer les extensions
- repenser le clos couvert pour être le plus léger possible, en bois, pour ne pas fragiliser la structure existante et faire office de protection solaire
Concernant la façade en terre cuite réutilisée, nous avons dû recréer une façade en maçonnerie afin de respecter l'avis technique et d'assurer une parfaite étanchéité de la façade sans contraindre les éléments existants.
Crédits photo
Crédit loci anima
Maître d'ouvrage
Maître d'œuvre
Intervenants
Autres
Kataba
Luc Monvoisin, l.monvoisin[a]kataba.fr
https://kataba.fr/designer et fabricant mobilier avec matériaux récupérés sur le site
Bureau d'études autre
DEC2
Damien Delsarte, damien.delsarte[a]dec2.fr
https://www.dec2.fr/Etude sur la gestion des déchets d’un chantier de réhabilitation
Entreprise
Rotor déconstruction
https://rotordc.com/Entreprise récupère la terre cuite non utilisée
Entreprise
MAKE ICI
https://makeici.org/presentation/Aide à la conception et fabrication des pop-ups stores
Type de marché public
Non concerné
Autre type de marché
marché privé
Allotissement des marchés travaux
Corps d'Etat Séparés
Systèmes
- Chaudière gaz individuelle
- Pompe à chaleur
- Chauffe-eau électrique individuel
- Pompe à chaleur réversible
- Autres
- Simple flux
- Aucun système de production d'énergies renouvelables
Bâtiment intelligent
Démarche biodiversité
Résilience
- Îlot de chaleur urbaine
Environnement urbain
- 34 001,00 m2
- 20 572,00 %
- 2 123,00
Solution
bardeaux de terre cuite
wienerberger, terreal, cabre
a compléter
Second œuvre / Menuiseries extérieures
les bardeaux de terre cuite sont entièrement démontables
à compléter
a completerRéemploi (même usage) / Réutilisation (changement d'usage)
- Façades
- Serrurerie-Metallerie
- Faux-Plafonds
- Aménagements extérieurs
- 100% des Bardeaux de terre cuite dont 75% en façade IN SITU, 15% en mobilier extérieur IN SITU, 10% chez RETOR
- 95 % des Poutres galvanisés pour fixation de la façade : 1200ml
- 75% des Pâtes de fixation de la terre cuite : environ 6120 ml
- 95 % des Ossatures de maintien des habillages de soffites : 2400ml
- 100% Ossatures porteuses des faux plafond : 1120ml
Logistique
- Sur site, sur une aire dédiée non couverte
- Sur site, sur une aire dédiée non couverte
Assurance
Bilan environnemental
Catégories |
CO2 évité (kg) | Consommation Eau évité (m3) | Déchets évités (kg) |
Aménagements extérieurs | 0 | 0 | 0 |
Aménagements extérieurs / Serrurerie - Métallerie | 0 | 0 | 0 |
Charpente | 48695,78522 | 256.1856628 | 1086.564385 |
Cloisons | 0 | 0 | 0 |
Couverture | 0 | 0 | 0 |
Couverture / Aménagements extérieurs | a calculer | A calculer | a calculer |
Eclairages | 0 | 0 | 0 |
Eclairages sécurité | 0 | 0 | 0 |
Equipements de génie climatique | 0 | 0 | 0 |
Equipements électriques | 0 | 0 | 0 |
Façades | 75868.584 | 180.24792 | 19658.05572 |
Faux plafonds | 0 | 0 | 0 |
Faux planchers | 0 | 0 | 0 |
Faux-plafonds | 0 | 0 | 0 |
Gros-œuvre | 0 | 0 | 0 |
Installations sanitaires | 0 | 0 | 0 |
Isolation | 0 | 0 | 0 |
Menuiserie ext | 0 | 0 | 0 |
Menuiseries intérieures | 0 | 0 | 0 |
Mobilier | 0 | 0 | 0 |
Peinture | 0 | 0 | 0 |
Plomberie | 0 | 0 | 0 |
Revêtements de sols | 0 | 0 | 0 |
Revêtements de sols ou muraux | 0 | 0 | 0 |
Revêtements muraux | 0 | 0 | 0 |
Sécurité du bâtiment | 0 | 0 | 0 |
Serrurerie - métallerie | 0 | 0 | 0 |
VRD | 0 | 0 | 0 |
CO2 évité (kg) | Consommation Eau évité (m3) | Déchets évités (kg) | |
TOTAL | 124564.36922 | 436.4335828 | 20744.62011 |
L'opération de réemploi a économisé l'équivalent de 692515 kilomètres parcourus par une petite voiture, soit 787 trajets Paris-Nice, 2910 baignoires rectangulaires remplies d'eau et 41 années de déchets ménagers d'un français A CONFIRMER et notamment |
il n'y pas le calcul pour les aménagements extérieurs
et il n'y a pas le calcul de la valeur énergie humaine
L'ACV est en cours
Impact financier
- 93 000 €
- Autres
Communication
Economie sociale et solidaire
- Gros oeuvre : 1295 heures
- Etanchiétié et bardage : 175 heures
- Menuiseries et métalleries : 210 heures
- Aménagement intérieur : 140 heures
- Carrelage : 70 heures
- Electricité : 175 heures
- CVC : 350 heures
- Réalisation des pop-ups stores : Make ici
- Quid de la rémunération du temps humain lié au ré-emploi (à voir avec cabre) ?
Raisons de la candidature au(x) concours
Dans le cadre de cette restructuration du centre commercial de périphérie historique d’Auchan ; l’ambition est de favoriser le réemploi IN SITU comme vecteur de valorisation de l’énergie humaine et restaurer l'équité (Énergie et équité (Ivan Illich, 1973)
- réemploi, une innovation ou une pratique ancestrale renouvelée ?
Le réemploi et l’Histoire
Au temps des Romains, Grecs et Egyptiens, les ouvriers qui construisaient les bâtiments récupéraient les métaux, principalement l’acier, des anciennes constructions pour les réutiliser dans les nouvelles.
Au Moyen-âge et la construction abondante des églises, cathédrales et châteaux, les constructeurs se servaient des anciens édifices pour récupérer tous les matériaux possibles et utiles pour construire de nouveaux édifices toujours plus imposants. Ainsi les ornements (colonnes, corniches) du Duomo de Pise construit au 11ème siècle proviennent d’un autre édifice construit avant. A partir de cette période et jusqu’à la fin du 18ème siècle, lorsque les bâtiments étaient transformés ou déconstruits, des affiches étaient distribuées partout aux alentours du chantier pour informer d’une vente publique des éléments du chantier. Ces matériaux étaient alors réutilisés dans un chantier, sur un périmètre proche.
L’attachement à la pratique locale, aux matériaux naturels et à l’utilisation des anciens bâtiments dans la nouvelle construction étaient encore très présente à la fin du 19ème siècle.
Mais le 20ème siècle a marqué le passage à une nouvelle ère, l’ère industrielle. Les matériaux bon marché deviennent abondants sur le marché, les transports se développent. Les matériaux deviennent moins locaux et le réemploi moins spontané. Dans l’industrie, les métaux sont encore très réutilisés permettant de baisser les coûts de fabrication.
Les années 1970 marquent la mise en place des premières législations concernant le réemploi, notamment avec la création des ministères de l’environnement dans les pays développés. Des restrictions sont installées comme l’interdiction de mise en déchet pour certains matériaux.
En Europe, une loi est votée en 1975 et définit la notion de déchet. Il s’agit de « tout objet dont le détendeur cherche à s’en débarrasser ». Pour utiliser ce terme, il faut donc une intention de mise à la benne.
Toujours en Europe, en 2015, l’économie circulaire entraîne une sorte de brouillage entre les termes de déchet et de ressource. Cela permet à la filière du réemploi de refaire sa place après une longue pause et de commencer à inciter les acteurs du bâtiment à un changement plus écologique.
Aujourd'hui, les projets du moment sont surtout des expérimentations, des œuvres d’art mises en valeur par des architectes, des vitrines comme le musée d’histoire de Ningbo – en Chine. Ses façades sont réalisées à partir de tuiles, bambou, mortier, portes et fenêtres récupérés sur le site du chantier.
Définition et enjeux du réemploi :
Selon la définition donnée à l’article 3 de la Directive européenne n° 2008/98/CE du 19/11/08 relative aux déchets, transposé en droit français par l’article L. 541-1-1 du Code de l’environnement ; le réemploi des matériaux de construction concerne un ensemble de pratiques consistant à « utiliser de nouveau [des matériaux ou éléments de construction issus de déconstruction] pour un usage identique à celui pour lequel ils avaient été conçus ».
Le réemploi permet de diminuer l’empreinte écologique, d’économiser les ressources naturelles, de limiter les émissions de gaz à effet de serre ou de polluants générés par l’élimination d’un produit en fin de vie, de créer et d’entretenir des emplois et filières locales, de favoriser une économie circulaire valorisant et optimisant le recyclage avec des boucles plus ou moins locales ou distantes, de limiter le gaspillage. Globalement de favoriser une économie décarbonée.
2- comment améliorer durablement la filière du Réemploi ? Vers le 0 stockage et le 0 transport ?
Concrètement : pour un besoin en matériau, le futur acquéreur se renseigne sur des bâtiments en voie de démolition pour réserver des matériaux. Ces derniers, dès démontés, seraient réemployés immédiatement dans une autre construction. Les deux sites se trouvant idéalement à proximité.
Du diagnostic ressources au remontage des matériaux, différentes étapes se succèdent et certaines présentent des limites dans l’application concrète de l’idéal du réemploi.
En effet le premier écueil réside dans la nécessité de stockage. La société Cycle Up, via sa plateforme de mise en relation de l’offre et la demande, permet dans l’idéal de réemployer en flux tendu : le matériau n’est pas encore démonté mais est déjà projeté dans une nouvelle construction. Ainsi immédiatement démonté, il est remployé.
Dans les faits ce n’est pas toujours le cas : certains matériaux démontés ne trouvent pas preneurs immédiatement et doivent ainsi être stockés. La conséquence est la nécessité de concevoir des espaces de stockage :il en découle une consommation d’énergie.
Une autre limite réside dans les indispensables flux, eux-mêmes consommateurs d’Energie. Un matériau peut trouver une offre en réemploi à une distance importante. Son transport est donc énergivore.
Ses deux limites au modèle proposés par le réemploi sont notables et conduisent à s’interroger sur les piliers proposés par l’idéal véhiculé par la notion de réemploi.
3- le réemploi comme révélateur d’un nouveau modèle social ?
- Faire mieux avec ce qui préexiste, Ce qui est là ? // Du statut de déchet à celui de ressource ?
Nous étions confrontés à une façade en terre cuite réalisée il y a 20 ans Et dont le reste à vivre est de plus de 70 ans de dimensions gigantesques : pour la plus grande 350 ml et 7,5 mètres de haut.
Quel destin pour ces terres cuites ? Qu’en faire et que faire ?
Nous avons pensé ce matériau dans un contexte d’épuisement des ressources et d’accumulation des déchets comme une ressource.
- Le réemploi, un héritage patrimonial pour relier les générations ?
La pratique du réemploi participe à la transmission patrimoniale, garante d’un héritage socioculturel urbain. Pour Jean Marc Huygen, « ces objets obsolètes sont porteurs de mémoire de leurs anciens usages, qui constituent peu ou prou un héritage patrimonial, une relation entre les générations »
Le nom de notre agence : « Loci Anima » signifie en latin littéralement âme des lieux : chaque être vivant, objet mais aussi élément naturel est animé d’un esprit, d’une force vitale, d’une Energie. Une philosophie que Françoise Raynaud résume en trois mots « animisme post-industriel »
Il s’agit, par le réemploi, de conserver des traces de l’âme des lieux, de conserver cette énergie, de perpétuer la mémoire. Le réemploi était une évidence pour nous.
4. L'énergie humaine au cœur du réemploi : L’Energie humaine disponible, l’énergie originelle, l’énergie à portée de chacun, l’énergie équitable.
Nous ne mesurions pas la portée de cette démarche, c’était intuitif, naturel. C’était faire usage de bon sens. Il s'agit de reconsidérer l’énergie humaine comme postulat à l’action. Considérer cette source d’énergie comme primaire, principale et ne pas avoir la nécessité d’intégrer les autres. Tout s’est fait à portée de bras; et non à portée de pétrole, d'électricité (nécessaire au transport) ou de foncier (nécessaire au stockage). Nous avons calculé une vitesse de travail en fonction du nombre d’hommes mobilisés et avons adapté notre temporalité.
Il est nécessaire de tenir compte de la distance entre les deux sites afin d’être en cohérence avec le concept de réemploi. Il s’agit de limiter au maximum les flux, énergivores et de choisir des modes de transport, en adéquation avec le principe du réemploi, les moins impactants sur l’environnement.
Comment identifier une distance raisonnable ? Pourquoi pas imaginer une distance humainement parcourable et s’appuyer sur la théorie de la ville du quart d’heure pour imaginer ainsi une économie du quart d’heure, en résonnance avec une économie de la distance raisonnable.
Dans cette optique, la nature du moyen de transport doit être questionné. A la rapidité, l’efficacité qui doit être toujours plus grande, pourquoi pas proposer le critère de préservation de l’environnement en favorisant le transport le moins impactant sur ce dernier.
5. vers un nouveau modèle économique // l’écologie humaine ?
En reconsidérant les critères et en valorisant le fait d’être respectueux de l’environnement, la valeur économique se trouve bousculée. La valeur ne se situe plus dans la notion de rapidité et d’efficacité mais dans la capacité à préserver l’environnement. Cette valeur, la capacité à préserver l’écosystème mondial, étant au moins égale, voir supérieure à celle du système traditionnel de la rapidité et de l’efficacité. Il s’agirait de donner un prix juste à cet objectif : celui de construire une écologie humaine. Ce concept développé par Lionel Dupuy prône une vision égalitaire de l’homme et de la nature, l’instauration de rapports harmonieux.
Dans ce cadre, les transports en mobilité douce seront valorisés, au détriment des transports traditionnels. Le moteur étant l’Energie humaine, il sera redonné un prix à ce travail. Un prix juste cohérent avec l’objectif de préserver l’environnement, un prix humain.
Et si de ce projet de réemploi à Roncq découlait une proposition d’un modèle reposant sur une économie postindustrielle fondée sur le travail personnel, une basse consommation d’Energie comme le suggère Illich ?
Reconsidérer l’énergie humaine semble avoir une portée sociétale, peut être médicale ou thérapeutique.
Travailler en revalorisant la matière délaissée a pour conséquence indirecte de revaloriser le travailleur manuel.
Le réemploi se place comme alternative au modèle linéaire en proposant un modèle circulaire. Pour l’économiste Serge Latouche, il prouve une volonté profonde de compréhension des sphères humaines et territoriales, sur une implantation à l’échelle locale. Dans le réemploi il n’est pas question uniquement de provenance de matériaux mais plus largement de « la politique, la culture, le sens de la vie qui doivent retrouver leur ancrage territorial. »
La remise en mouvement dans une société toujours plus sédentaire et la valorisation de la richesse qui en découle peut-être perçu comme un enjeu de santé publique mais aussi comme une réappropriation des richesses naturelles. Chacun est créateur de sa propre richesse. Chacun en dispose.
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