Quid de « l'artificialisation positive » ?

4 juillet – Il est question dans cet article de changer de point de vue quant au terme d’artificialisation et ce qu’il représente pour l’aménagement des territoires – en lien notamment avec la réglementation du Zéro Artificialisation Nette (ZAN). Plutôt que de renoncer à toute idée d’artificialisation, l’auteur prône une artificialisation des sols « positive », c’est-à-dire, une agroécologie. Le principe ? Continuer à produire, mais en accompagnant les processus naturels plutôt qu’en les combattant. Si l’on suit cette logique, il faudrait alors parler « d’artificialisation positive » plutôt que de « zéro artificialisation nette ».
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Cet article est extrait de la revue de presse mensuelle du Réseau Bâtiment Durable animé par l'ADEME et le Plan Bâtiment Durable. Pour vous abonner, cliquez ici.

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