Un écosystème francilien coiffe la Seine musicale

  • par Le Moniteur
  • /
  • le 2017-02-07 10:43:04
  • /
  • France
  • /
  • vus 1224

Le jardin public qui coiffe la cité de la musique de l’Ile Seguin, à Boulogne-Billancourt, a nécessité une procédure d’appréciation technique d’expérimentation. Au carrefour de l’étanchéité, de la charpente et des espaces verts, le chantier de couverture utilise des techniques de confortement de berges et rode le référentiel du label Biodivercity.

Avec ses pentes qui atteignent jusqu’à 76° sur une toiture aménagée en jardin public et en refuge pour la microfaune sauvage, la cité de la musique de l’Ile Seguin, à Boulogne (Hauts-de-Seine), ouvre un défi sans précédent dans le monde de la construction végétalisée. Le plan local d’urbanisme est venu pimenter l’exercice, avec sa prescription qui impose une épaisseur minimale de 40 cm de terre, pour toute surface plantée dans la commune.  Sortant du cadre de la DTU 43-1 sur l’étanchéité du bâtiment, la « machine à percevoir le paysage francilien », imaginée par Bassinet Turquin Paysage, a nécessité le passage par une appréciation technique d’expérimentation (ATEx).

 Lire la suite sur Le Moniteur.fr

© Bassinet Turquin Paysage - Une appréciation technique d'expérimentation a permis de vérifier l'étanchéité et la stabilité du jardin, porté par une charpente mixte, avec des pentes qui atteignent jusqu'à 76°.

Article publié sur Le Moniteur
Consulter la source

 écosystème espaces verts biodiversité végétalisation toit végétalisé Bassinet Turquin Paysage LPO Elan Le Prieuré label Biodivercity