La sieste au travail, un rêve de grands ?

 « Je fais la sieste au travail ». Voici une affirmation qui fait souvent sourire et qui en étonne plus d’un dans mon entourage. « Ah bon ? Mais c’est autorisé ? Et ton patron le sait ? Mais où est-ce que tu dors ? Et tu arrives à dormir avec tes collègues à côté ? ». Florès vous livre les clefs d’une bonne sieste réparatrice au travail.

 

Après une matinée riche en émotions et un déjeuner riche en calories, difficile d’enchaîner sur une après-midi riche en rendez-vous / articles à rédiger / coups de fils à passer / études à boucler sans faire une pause.

Si les nuits sont parfois trop courtes et tourmentées, le manque de sommeil nous prive de notre dynamisme et amoindrit notre efficacité. Parfois perçues comme un manque de temps, ces quelques minutes de repos au milieu de la journée nous permettent, bien au contraire, de faire le plein d’énergie et de bonne humeur pour entamer l’après-midi au top de sa forme et de son efficacité.

 

Assumer la sieste face aux préjugés

Selon l’Institut National du Sommeil et de la Vigilance, 19% des salariés français avouent s’assoupir en cachette au bureau. Malgré toutes les campagnes de bien-être au travail que les entreprises s’emploient à mener aujourd’hui, la sieste s’accompagne encore de préjugés du type « la sieste, c’est quand on est en maternelle », ou « la sieste c’est pour les fainéants ou les gens en vacances, dans un transat, avec un pastis dans la main et les cigales qui chantent à côté ».

À cause de ces jugements infondés gravés dans les mœurs, une partie des personnes qui nécessitent un temps de coupure dans leur journée s’en cache, et parfois même s’en prive.

Lire la suite de l'article 

 bookmarks:visit
Partager: