La qualité de l'air urbain s'améliore peu car les émissions réelles restent importantes

Rédigé par

David Ascher

GÉRANT

804 Dernière modification le 12/03/2019 - 10:46
La qualité de l'air urbain s'améliore peu car les émissions réelles restent importantes

Une étude d'Airparif et du King's College montre que la zone à faibles émissions de Londres n'a pas permis l'amélioration de la qualité de l'air escomptée. La raison ? Le décalage entre la norme théorique et les émissions réelles d'oxydes d'azote.

"La zone de faibles émissions de Londres, bien qu'ayant permis une amélioration de la qualité de l'air, n'a pas permis d'atteindre les objectifs escomptés sur les concentrations de polluants dans l'air ambiant soulignant le besoin d'adéquation entre les normes euros et les émissions en conditions réelles", pointe Airparif.

 

L'association agréée de surveillance de la qualité de l'air en Ile-de-France a dévoilé ce lundi 11 mars une étude, réalisée avec le King's College de Londres et publiée dans la revue scientifique Environmental Pollution, sur l'évolution de la qualité de l'air dans la capitale française et britannique [...] Lire la suite.

Article publié sur Actu-Environnement
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