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Abdelmadjid Bouguendourah

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Chers frères et sœurs, amis, Mesdames Messieurs,

l´attente est une épreuve, la patience est un rocher dans la houle du temps et le retard est l´érosion implacable qui amincit et annihile les deux. J´ai longuement attendu, espéré un mouvement, une brise sur les ondes de l´information, le bruit d´un outil qui tombe, le cri du chef d´équipe, le rire des maçons qui font la pause, mais hélas rien de tout cela. Pas de vie là tu appelles, alors j´ai décidé de vous faire part de mes sentiments qui restent les miens mais chers frères et sœurs, amis, Mesdames Messieurs, si vous sentez la même chose que moi vous pouvez en disposer, faire bouger quelque chose, faire démarrer le projet, se poser des questions pourquoi que cela ne marche pas, bref être acteur et se démarquer des spectateurs. C´est´pour cela que j´ai envoyé ce mail à l´ENPC. Considérez cela comme "PRESSE À CITRONS" ( Ceux qui étaient à Constantine lors de la séance de lancement du projet savent de quoi je parle) et les citrons il y en a beaucoup en Algérie. 

Important: Puisque j´ai eu l´appréciation du directeur de l´ENPC que je n´étant point un "SCIENTIFIQUE" je n´avais pas le droit de participer à ce projet que j´ai lancé, (Je ne sais même pas où en est la situation, quoique je suive les déclarations des membres de la communauté sur Construction 21), et comme je suis par "décret directorial SANS STATUT DE SCIENTIFIQUE je vous prie de faire bouger ou enterrer le projet pour donner la chance en cas de mouvement aux intéressés de vous aider et dans l´autre de vous présenter leurs condoléances.

Je vous remercie pour votre patience en attendant des jours meilleurs.

Avec mes sincères et fraternelles salutations 

Abdelmadjid Bouguendourah

Initiateur sans statut du projet de coopération entre                                                                                                               l´école supérieure des sciences appliquées de Regensburg, Allemagne (OTH)                                                                     et l´école nationale polytechnique de Constantine, Algérie (ENPC) 

Regensburg le 21.07.2017

Le gouffre de l´indécence.

Le temps n´a pas pu ni voulu s´arrêter sous les ponts de Constantine cette orpheline bafouée dans ses droits, veuve spoliée dans son honneur, méconnue dans son histoire privée du savoir dont elle portait l´étendard, délaissée par les Oulémas et les Savants à son triste et obscur sort et jetée en pâturage aux « amis du sac » et ceux qui mangent dans leurs râteliers au bout d´une courte longe.

Monsieur le directeur de l´école nationale polytechnique de Constantine, Algérie, je ne veux point me laisser guider par la colère ni le courroux tous deux mauvais conseillers de la vanité et l´amour de soi, mais plutôt par la réflexion et l´humilité (comme le disait le Pr. Michael Sterner lors de son passage à Constantine en répétant à trois reprises HUMILITE,  HUMILITE, HUMILITE, ALLAHOU AKBAR ! et vous savez pourquoi) piliers de la sagesse, je ne veux pas porter atteinte à votre personne en tant que telle mais de dénoncer celle investie de la fonction de direction, mais à mes yeux incapable de gérer, de suivre, ou de déléguer pour gérer et suivre le dossier de coopération entre l´OTH et l´ENPC, vu le résultat catastrophique malgré les efforts déployés et l´objectif visé qui devrait ouvrir des perspectives réelles et bénéfiques aux étudiants des deux écoles et pays sans évoquer le thème.

   Après longue réflexion dans une attitude figée par ce silence hautain ou ignorant peut-être même les deux de votre part, pas en tant que personne mais directeur de la suscitée institution. 

Après une longue attente et cette absence de manifestation ni de votre part ni de celle de ceux qui étaient  présents et concernés, où personne n´avait dit ni m…. ni merci, je me suis vu dans l´obligation en tant que initiateur ( à mes frais et risques et sans statut) de ce projet de  coopération entre l´école supérieure des sciences appliquées de Regensburg, Allemagne (OTH) et l´école nationale polytechnique de Constantine, Algérie (ENPC) dont vous êtes le directeur, de m´enquérir de la situation auprès de l´OTH pour estimer le développement de la « chose », donc j´ai demandé une entrevue avec MM les professeurs Thomas Fuhrmann, vice-président de l´OTH et Bilel Dawoud, Michael Sterner (C´est lui qui est venu à Constantine) tous deux enseignants au niveau de l´OTH.

Il a fallu du temps et de la patience pour décrocher une entrevue avec les gens de l´OTH, qui en fait n´avaient point envie de parler de ce sujet car déçus par le comportement et l´absence d´intérêt et d´engagement de la part de l´ENPC de Constantine.

Bref, la réunion a eu lieu dans un froid et distant climat lors de laquelle presque dans un cagibi, j´étais lié dans une camisole de honte et d´impuissance, figé dans un bloc de glacé d´humiliation troué de questions, percé de regards d´en haut, mis au banc des accusés à la place d´incapable(s) qui n´ont plutôt ni su ni pu gérer la simple mise en place d´une base de coopération entre l´OTH et l´ENPC, donc failli à leur fonction et spolié les étudiants dans leur droit au savoir et leur épanouissement technologique. Mais malgré cela j´ai défendu l´esprit et le droit au savoir des étudiants des deux écoles et pays et non l´aspiration à une chaire, un poste, un voyage (ou que sais-je encore) quelconque de qui que ce soit et pour qui que ce soit.

La noble assistance, après avoir déploré d´avoir perdu du temps de l´argent (l´OTH a payé tous le frais du Pr. Michael Sterner) pour découvrir l´incapacité de gestion des responsables de l´ENPC (Mr Pr. Dr. Ing. Michael Sterner a été néanmoins séduit par l´esprit et la soif de savoir des étudiants et de l´hospitalité des gens qu´il a connu en dehors de l´emprise de l´ENPC),  a réitéré le fait que je n´étais point responsable de cette malheureuse situation mais malgré tout je ne me suis pas bien senti dans ma peau, malgré le fait que je n´y sois pour rien pour ce débâcle.

Permettez-moi, plutôt je me donne le droit, Mr. Pr. Djamel HAMANA, directeur de l´ENPC de déplorer, de dénoncer et d´accuser cette situation déplorable, honteuse causée par votre incapacité de gestion et l´absence de ce brin de décence mû par l´éducation les us et coutume, la religion ou je ne sais quoi encore, d´écrire soi-même, de dicter à la secrétaire, de déléguer un collègue d´écrire un mot de remerciement à cet illustre personnage ambassadeur de son école l´OTH, pour la visite, le temps investi, le courage (Le soir même de l´arrivée du Pr. Michael Sterner il y a eu un attentat mortel à beb el kantara, Constantine.), pour l´intention de vouloir coopérer et continuer ce travail qui venait de commencer, qui aurait permis aux étudiantes et étudiants des deux écoles et pays de s´épanouir et développer leurs respectifs horizons de se connaitre les uns les autres et servir leurs pays.

À tout cela vient s´ajouter le reste de contenu qui a fait déborder le vase à la place de la goutte qui aurait dû le faire, car il y a environ six semaines Mr.  Pr. Michael Sterner m´a rendu visite chez moi, quelque peu gêné et mal dans sa peau pour me demander de vouloir prendre le « cadeau » que vous lui avez remis le jour de son retour, si ce dernier me plairait, avant de le jeter car il n´aurait pas de place pour cela dans sa maison, j´ai essayé de le convaincre de le garder (je ne sais en fait même pas pourquoi j´essayais de le faire changer d´avis, serait cette fibre de nationalisme, amour de sa ville, orgueil de l´histoire, bref…), alors je me suis jeté dans le marécage de la honte frôlant lemensonge en lui disant que j´allais le garder vu la symbolique que portait le cuivre et lui il s´est débarrassé de cet objet qui ne lui rappelait  rien de bon.

Alors Mr. Le directeur je vais prendre les frais de transport de cet objet encore une fois à ma charge et je vais vous le faire parvenir par un moyen ou un autre, pour ne pas faire sombrer votre système dans la ruine.

Enfin Mr. Le directeur un dernier mot en tant que non scientifique je me contenterais de la constante de Planck pour rester en mouvement à chercher le savoir, sachant ce que vous ignorez et vous laisse  en tant que scientifique dans votre constante planque (système oblige) ignorant ce que je sais, dans l'espace réciproque et celui qui lui est opposé.

N .B. 1. À la première occasion je vous ferais parvenir votre « rendu cadeau », « pas accepté », « pour lequel il n´y a pas de place », car moi non plus je n´en veux pas (Je vous envoie par contre une photo que gardera Mr.  Pr. Michael Sterner comme bon souvenir et heureusement il y en d´autres).

2. Comme j´ai toujours informé depuis le début, lors du développement de cette action les gens impliqués je vais leur envoyer cette lettre aussi comme fin ou complément de l´histoire. Cela détient de leur droit et m´incombe comme devoir.

3. Si ces mots vous touchent et vous inciteraient à quelques réactions quelques soient elles à mon égard, ils sont dirigés à l´encontre du scientifique responsable et directeur de l´ENPC de non de celle de la personne privée que je ne connais même pas. Vous pourriez y réfléchir et en faire ce que bon vous semblerait.

Je vous souhaite  d´atteindre ce que vous souhaitez et à vos étudiants et collègues à ce dont ils ont droit.

Avec les salutations dues à votre rang et fonction.

Abdelmadjid Bouguendourah

Initiateur sans statut du projet de coopération entre

l´école supérieure des sciences appliquées de Regensburg, Allemagne (OTH)                                                                     et l´école nationale polytechnique de Constantine, Algérie (ENPC) 

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